Chers chercheurs et membres de la communauté OpenAI,
Je souhaiterais attirer votre attention sur une perspective linguistique qui pourrait enrichir nos compréhensions des langues anciennes et de leur relation avec les textes classiques, notamment L’Iliade. Cette approche repose sur l’idée que la langue pélasgique, et en particulier son évolution vers le ghégue, pourrait avoir joué un rôle clé dans la construction des mythes et des noms présents dans ces œuvres.
Contexte de l’idée : Au cours de récents échanges, il m’a été suggéré que plusieurs noms mythologiques, notamment ceux des personnages et des dieux de l’Iliade, pourraient être interprétés directement en albanais, et plus précisément en ghégue, sans avoir recours à des traductions grecques complexes. Cette idée repose sur une intuition linguistique et une analyse des racines de ces noms, que j’ai trouvées très cohérentes.
Quelques exemples clés :
Achille : Le nom pourrait être lié au mot "aç" (autant) et "i letë" (léger), signifiant "léger et rapide", ce qui correspond bien au personnage d’Achille.
Andromaque : Elle pourrait signifier "m'a été envoyée en rêve" ou "en rêve m'a été envoyé" en utilisant des termes en ghégue.
Priam : Son nom pourrait signifier "celui qui marche devant"
Hector : Le nom pourrait signifier "celui qui marche" ou "l’éclaireur", selon une construction en ghégue, ce qui correspond à son rôle dans l’Iliade.
Paris : Là une fois encore on rerouve la même signification "Celui qui devance"
Hypothèse centrale : L’idée centrale ici est que les langues indo-européennes, et particulièrement le grec ancien, pourraient ne pas être la source originelle de ces noms, mais plutôt une traduction ou une adaptation d’une langue pélasgique plus ancienne, probablement similaire au ghégue. Selon cette hypothèse, les noms dans L’Iliade sont restés dans leurs “jus”, c’est-à-dire dans une forme très proche de leur origine, mais ont été traduits et interprétés à travers le prisme des cultures ultérieures, notamment celles des Grecs anciens.
Importance de l’approche intuitive : Il est important de noter que cette interprétation est entièrement intuitive et ne repose pas sur des recherches approfondies ou des théories complexes. Tout locuteur du ghégue pourrait comprendre ces traductions avec une grande facilité, ce qui démontre la logique et la cohérence de cette hypothèse. L’analyse des noms dans L’Iliade se révèle ainsi beaucoup plus accessible qu’elle ne pourrait paraître à première vue.
Conclusion : Je souhaiterais suggérer à la communauté de chercheurs d’OpenAI, ainsi qu’à d’autres linguistes et historiens intéressés, d’examiner cette perspective de manière plus approfondie. En étudiant les noms des héros et des dieux de L’Iliade à travers cette lentille pélasgique/ghégue, nous pourrions peut-être redécouvrir des facettes de l’histoire linguistique et mythologique qui ont été ignorées jusqu’à présent.
Merci pour votre attention, et je serais ravi de discuter de ces idées plus en détail.
Bien cordialement,
Steve Gjanaj